12 raisons de soutenir les Sauveteurs en Mer. La bonne résolution 2023 : devenir donateur régulier

À l’oc­ca­sion de la nouvelle année, les Sauve­teurs en Mer vous présentent leurs meilleurs vœux ! Béné­voles, ils s’en­gagent au quoti­dien au service du sauve­tage et du secou­risme et mettent en lumière douze raisons de les soute­nir mensuel­le­ment tout au long de l’an­née. En soute­nant mensuel­le­ment la SNSM, l’as­so­cia­tion s’as­sure d’un enga­ge­ment pérenne et peut ainsi proje­ter au mieux ses actions et inves­tis­se­ments et limi­ter le temps et les moyens consa­crés à la recherche de fonds. Donner chaque mois, ce n’est pas donner plus, mais donner mieux.

Raison n°1. La SNSM est une asso­cia­tion loi 1901 dont le finan­ce­ment dépend à près de 70 % de la géné­ro­sité des dona­teurs

Afin d’en­tre­te­nir et moder­ni­ser sa flotte, ses infra­struc­tures, ses équi­pe­ments et maté­riels, mais égale­ment former les sauve­teurs béné­voles qui s’en­gagent, la SNSM a besoin de près de 60 millions d’eu­ros par an.

Raison n°2. Béné­voles, les Sauve­teurs en Mer vous secourent toute l’an­née 24 h / 24 de la plage au large

De janvier à décembre, ces femmes et ces hommes, béné­voles passion­nés, sortent en mer, parfois au péril de leur vie. Un enga­ge­ment précieux qui permet de porter secours chaque année plus de 32 000 personnes en mer et sur le litto­ral. Retrou­vez un centre de forma­tion et d’in­ter­ven­tion ou une station de sauve­tage près de chez vous.

""
Les Sauve­teurs en Mer de la SNSM Ouis­tre­ham en exer­cice de sauve­tage © Martin Roche

Raison n°3. Tout l’été, ils surveillent égale­ment vos baignades et acti­vi­tés nautiques à la mer

De juin à septembre, ils veillent sur vos vacances. L’été passé, plus de 1 300 sauve­teurs dans 235 postes de secours ont soigné et secouru plus de 18 000 personnes.

Raison n°4. Plus de 1 200 enfants perdus sur les plages sont retrou­vés par les sauve­teurs chaque année

""
Une nageuse sauve­teuse de la SNSM mettant un brace­let d’iden­ti­fi­ca­tion à un enfant © Maxime Huriez

Raison n°5. Pas de trêve hiver­nale : même pas grand froid, ils se mobi­lisent auprès des naufra­gés

Que ce soit pour des marcheurs isolés par la marée, en passant par les naufra­gés dans la Manche, aux pêcheurs en avarie ou encore aux plai­san­ciers ou pratiquants de sports nautiques qui bravent le froid, les sauve­teurs inter­viennent. Et, pour être toujours prêts, ils s’en­trainent en mer même en hiver !

Raison n°6. Ils peuvent être mobi­li­sés en cas de crises sani­taires, catas­trophes natu­rel­les…

La SNSM est une asso­cia­tion agréée de secou­risme et de sécu­rité civile, et ses béné­voles se tiennent prêts en cas de solli­ci­ta­tions pour inter­ve­nir en renfort lors d’opé­ra­tions diverses. Grâce à ses agré­ments, la SNSM parti­cipe chaque année à près de 2 000 dispo­si­tifs prévi­sion­nels de secours lors d’évé­ne­ments nautiques ou terrestres (Route du Rhum, festi­val Hell­fest, mani­fes­ta­tions spor­ti­ves…).

Les Sauve­teurs en Mer assu­rant les premiers secours au Hell­fest © Marianne Cossin

Raison n°7. Former et entre­te­nir leurs compé­tences est essen­tiel, à l’heure ou de moins en moins de béné­voles sont issus des profes­sions mari­times

En 2021, 442 000 heures de forma­tion ont été accom­plies, près de 6 000 exer­cices ont été réali­sés, plus de 1 100 forma­tions ont été déli­vrées… Un budget estimé à plus de 7 millions d’eu­ros par an à hori­zon 2026.

Raison n°8. Le renou­vel­le­ment et l’en­tre­tien des bateaux, des infra­struc­tures et du maté­riel n’at­tend pas

Casques, gilets de sauve­tage, tenues de mer, jumelles, planche de sauve­ta­ge… Plus de 9 millions d’eu­ros ont été consa­crés au renou­vel­le­ment des équi­pe­ments en 2022. Avec une flotte compo­sée de près de 800 embar­ca­tions de sauve­tage, la SNSM entre­tient et renou­velle ses navires à mesure que ses moyens finan­ciers le permettent. D’ici dix ans, 140 bateaux doivent être renou­ve­lés. Un montant évalué à près de 20 millions d’eu­ros par an. Sans comp­ter l’en­tre­tien des navires actuels dont le caré­nage à mi-vie coûte en moyenne près de 500 000 € par navire.

""
Le navire de sauve­tage hautu­rier SNS 17–01 « Gustave Gendron – Simone Anita » de notre programme nouvelle flotte © Alain Dervout

Raison n°9. La préven­tion est une de leur prio­rité et ils multi­plient les actions de sensi­bi­li­sa­tion

Convain­cus que bon nombre d’ac­ci­dents pour­raient être évités et que la respon­sa­bi­li­sa­tion passe par la préven­tion, les sauve­teurs réalisent des démons­tra­tions de sauve­tage, des ateliers dans les écoles, etc. L’objec­tif : que le grand public profitent de la mer sans risque.

Un groupe d'enfant apprend les gestes qui sauvent
Un groupe d’en­fant apprend les gestes qui sauvent lors de la tour­née mini-sauve­teurs © DR

Raison n°10. Faire un don régu­lier : appor­ter un soutien durable sécu­rise l’ave­nir de la SNSM

En anti­ci­pant les ressources, la SNSM peut mieux plani­fier son budget et ses inves­tis­se­ments ; et ainsi secou­rir des vies de façon pérenne.

Raison n°11. Le don régu­lier : adap­ter ses dons selon son budget

Répar­tir son soutien sur l’an­née permet au dona­teur régu­lier de l’adap­ter en fonc­tion de son budget.

Raison n°12. Les dons régu­liers permettent des écono­mies à la SNSM et elle peut ainsi mieux gérer l’af­fec­ta­tion des dons

Le trai­te­ment des dons est simpli­fié et les frais d’ap­pels sont réduits, permet­tant ainsi d’af­fec­ter une part plus impor­tante des dons sur les actions de sauve­tage prio­ri­taires.

Soutenir la SNSM m’a toujours semblé primordial pour la sécurité de chacun. Depuis peu, j’ai mis en place un prélèvement mensuel afin de mieux les soutenir toute l’année. J’ai le sentiment de participer à chacune de leur formation, chacune de leurs interventions et chaque nouveau bateau qui se construit.
Thomas
donateur mensuel à la SNSM
Le don mensuel assure une source de revenu stable pour notre station. Cela nous permet d’avoir un bateau bien préparé, un équipement toujours en parfait état, nous gagnons des minutes précieuses lors de nos interventions. Nous pouvons alors être concentrés sur l’essentiel : sauver des vies.
Rebecca
sauveteuse bénévole à la SNSM