Les Sauveteurs en Mer appellent aux dons pour le renouvellement de leurs équipements

Casques, gilets de sauve­tage, longes de sécu­rité, tenues de mer, jumelles de vision nocturne, défi­bril­la­teurs, sacs médi­caux étanches, filet de récu­pé­ra­tion de victime, bouées de sauve­ta­ge… Pour inter­ve­nir en toute sécu­rité et le plus effi­ca­ce­ment possible, les sauve­teurs doivent dispo­ser d’un maté­riel en parfait état et d’équi­pe­ments à la pointe de la moder­nité. Un budget annuel estimé à 7 millions d’eu­ros par an.

Donner à terre, c’est sauver en mer

À chaque inter­ven­tion, tout se joue en quelques minutes. Chaque sauve­tage doit s’ef­fec­tuer en toute sécu­rité pour tous, et le soutien du grand public est indis­pen­sable à la péren­nité du modèle écono­mique de l’as­so­cia­tion. Un don peut tout chan­ger. Ce coup de projec­teur est vital pour la SNSM et inter­vient en paral­lèle de la campagne natio­nale d’ap­pel aux dons. Faites un don sur le site des Sauve­teurs en Mer !

Vos dons, leurs équi­pe­ments

Qu’ils soient sauve­teurs embarqués sur les bateaux, plon­geurs ou nageurs de bord pour aller aux plus proches des naufra­gés, sauve­teurs sur les plages l’été ou encore secou­ristes mobi­li­sés lors de dispo­si­tifs prévi­sion­nels de secours, tous ont la néces­sité d’être correc­te­ment équi­pés afin d’in­ter­ve­nir dans les meilleurs condi­tions. Zoom sur quelques exemples : le sauve­teur embarqué qui exerce sur les embar­ca­tions de sauve­tage, porte un ensemble de mer consti­tué d’une veste et d’une salo­pette ou d’une combi­nai­son sèche, un gilet de sauve­tage, des bottes et des gants. Son équi­pe­ment peut être complété par une longe et un casque afin d’as­su­rer sa sécu­rité sur le pont, d’une VHF (radio) et d’un flasheur pour la visi­bi­lité de nuit.

Le nageur de bord est le premier à se mettre à l’eau lorsque les condi­tions ne permettent pas aux navires de sauve­tage de s’ap­pro­cher au plus près des requé­rants. Combi­nai­son Néoprè­ne®, gilet de sauve­tage, casque, palmes, gants et chaus­sures lui sont indis­pen­sables. Il dispose égale­ment d’un flasheur, d’un couteau, d’un coupe-ligne, d’une VHF (radio) ou encore d’un sifflet.

Le plon­geur de bord est le sauve­teur qui se met à l’eau lorsque l’in­ter­ven­tion le néces­site. Combi­nai­son Néoprè­ne®, gilet stabi­li­sa­teur, casque, gants et chaus­sures lui sont indis­pen­sables. Son maté­riel est très spéci­fique à sa fonc­tion et se compose d’une bouteille de plon­gée, d’un déten­deur complet, d’un compas magné­tique, d’une table de plon­gée MT 92, d’un profon­di­mètre élec­tro­nique, d’un para­chute de plon­gée et d’un dévi­doir. Il dispose égale­ment d’un flasheur et d’un coupe-ligne.

Le nageur sauve­teur qui surveille les plages l’été et opère en mer dans la bande des 300 mètres, est équipé d’un rescue tube (une bouée spéci­fique au sauve­tage), d’une VHF (radio), de palmes, d’une montre et d’un sifflet qu’il porte autour du cou. Dans l’eau, il est en maillot de bain complété d’un lycra ou en combi­nai­son Néoprè­ne®. Lorsqu’il est sur une embar­ca­tion, il porte un gilet de sauve­tage et un casque.

Le secou­riste qui surveille les plages l’été peut égale­ment être mobi­lisé lors de dispo­si­tifs prévi­sion­nels de secours (DPS) et ainsi assu­rer des missions de sécu­rité civile dans le cadre de mani­fes­ta­tions publiques, à terre (événe­ments spor­tifs, concerts, matchs de foot­ball…) ou en mer (départs de courses nautiques…), au service des popu­la­tions. Recon­nais­sable par son panta­lon gris et sa veste zippée ou polo orange SNSM, il dispose égale­ment d’un gilet DPS et d’une VHF (radio).

Pour parti­ci­per au finan­ce­ment des maté­riels et des équi­pe­ments de la SNSM, faites un don sur le site des Sauve­teurs en Mer.