Les naufrages de grande enver­gure sont heureu­se­ment rares, mais souvent drama­tiques. Au fil du temps, certains événe­ments tragiques ont marqué l’opi­nion publique et ont aussi permis de faire évoluer la régle­men­ta­tion. Retour sur quelques drames histo­riques.

Galette des rois 2024 à la station de Saint-Martin de Bréhal

La vedette SNS 444, Roque­reuil, aux nouvelles couleurs de la SNSM

Victime d’une entrée d’eau incon­trô­lable, un voilier s’échoue sur des roches. La mobi­li­sa­tion par le CROSS Corsen d’un héli­co­ptère, ainsi que de la vedette et du semi-rigide de la station SNSM locale a permis d’évi­ter le drame.

Inter­ven­tion en pleine nuit pour les sauve­teurs de la station de Berck-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais. Après qu’une embar­ca­tion de migrants a coulé, les naufra­gés se sont réfu­giés sur des rochers. Les Sauve­teurs en Mer ont récu­péré huit personnes à bord de l’aé­ro­glis­seur SNS4A-01 Maxime Touchais.

Quend-Plage est un lieu de baignade très fréquenté de la baie de Somme. L’été, onze nageurs sauve­teurs de la SNSM en assurent quoti­dien­ne­ment la surveillance. Le 26 août 2023, grâce à leur réac­ti­vité, le pire a été évité pour des kite­sur­feurs anglais pris au dépourvu par le mauvais temps.

Échouage de Captain Jack, un Grand Banks 42, et remorquage par la SNSM

Rail de dépres­sions, jet-stream, ces mots font parfois écho à une actua­lité drama­tique : les tempêtes. Comment limi­ter les dégâts en mer et à terre ?

Des essais d’un nouveau combus­tible ont été réali­sés sur la vedette Penn Sardin de la station SNSM de Douar­ne­nez. Il vise à réduire de 18 % les rejets de CO2 des moteurs marins qui équipent les navires de moins de 30 mètres de long.

Les Sauve­teurs en Mer ont remorqué le Gwen­nel après qu’il s’est échoué sur une plage du Finis­tère. Son proprié­taire n’ayant pas les moyens de le répa­rer, les béné­voles se sont mobi­li­sés pour lui venir en aide.